Et maintenant, je suis ici :

mardi 18 mai 2010

Plombée

Une chaleur pareille, ça devrait pas exister. Le jour, je peux pas marcher plus de cinq minutes sous le soleil, je recherche les lieux avec AC et les chocs thermiques que ça impose ; la nuit, la chaleur dans la chambre est intenable. Je dors sur le toit, sous les étoiles, dans le silence qui se fait entre 22h et 6h, enveloppée d'air en mouvement presque imperceptible ; le ciel est un drap frais que je tire à moi. Mais à 6h, il faut se lever, parce que déjà la terrasse se fait fournaise...

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